rm deuch santo

RESTAURATION MÉHARI CV

Vous ne savez pas où la restaurer ? Pas de souci ! Nous nous occupons d’elle comme si c’était la nôtre ! Accordez-nous toute votre confiance !

Vous possédez une Méhari en mauvais état ? Venez découvrir notre service de restauration !

Restauration 2 CV

Vous avez trouvé la 2CV de vos rêves ?

Super ! Encore une de sauvée… Mais celle-ci a besoin d’un coup de neuf ? Elle n’a pas tourné depuis longtemps ? Il est selon vous très nécessaire de procéder à quelques vérifications plus réparations avant de se lancer sur les magnifiques routes de France ?

Le plus sage est évidemment de faire un contrôle total avant même de ne commencer à faire quoi que ce soit.

Traitement du châssisdémontage du moteur pour vérifier l’état des segments et des soupapes, carburateur, allumage…

Pas de panique ! RM DeushSanto est là pour vous !

Un peu d'histoire

La Citroën 2 CV (pour «deux chevaux fiscaux») familièrement appelée Deuche, Deudeuche ou encore Deux pattes en référence à son moteur bicylindre est une voiture populaire française produite par Citroën entre le 7 octobre 1948 et le 27 juillet 1990. Avec un peu plus de 5,1 millions d’exemplaires elle fait partie des dix voitures françaises les plus vendues de l’histoire.

Après la fin de la guerre, le rythme s’accélère pour la 2CV. Walter Becchia finit de mettre au point le «moteur boxer bicylindre», toujours bicylindre de 375 cm3 mais refroidi par air, développant 9 ch SAE, directement inspiré du moteur équipant la moto de celui qui réclama longtemps de pouvoir dessiner la TPV : Flaminio Bertoni. La TPV reçoit aussi une boîte de vitesses à trois vitesses et une surmultipliée, et le patron accepte enfin que l’on emboutisse toutes les pièces de la carrosserie de la future 2 CV ce qui autorise quelque galbes de tôles comme des jupes d’ailes à l’arrière. Elle dispose d’une plate forme rigidifiée par des entretoises avec dessus et dessous tôlé, une suspension très souple, paradoxalement très sophistiquée, à bras tirés et ressorts hélicoïdaux latéraux dans un pot cylindrique de chaque côté, avec amortisseurs à friction et batteurs à inertie en bout de bras derrière les roues, inventée par Léon Renault, qui lui procure sa fabuleuse tenue de route, mais qui généraient des ultra-sons insupportables pour certains animaux, particulièrement les chiens.

Le souci d’économie conduit à des solutions techniques parfois minimalistes, par exemple les essuie-glace actionnés par le compteur de vitesse quand la voiture roule ou les joints de Cardan non homocinétiques, ce qui fait «brouter» la voiture dans les virages ou quand les roues sont braquées,(ces points seront corrigés dans des versions ultérieures en série à partir de 1965). Autre exemple : sur les prototypes, le moteur bicylindre est démarré avec une cordelette (comme sur les tondeuses à gazon), solution jugée trop spartiate, notamment par les dames de l’époque, qui ne sera pas conservée sur les 2 CV définitives. Autre exemple encore : la jauge à essence n’est pas un cadran sur la planche de bord, mais une tringle amovible graduée enfoncée dans le tuyau de remplissage du réservoir. Elle sera par contre la première voiture de série à être équipée de pneus à carcasse radiale fournis par Michelin dès son lancement, mais cela aussi trouve ses raisons dans l’économie de fabrication.

NE VOUS DÉPLACEZ PAS ! PRENEZ RENDEZ-VOUS PAR TÉLÉPHONE !

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